Les ateliers de la Grand’rue sont  à la fois un espace de découverte, d’apprentissage, de rencontre et de nouvelle économie culturelle et artistique :

L’ouverture au public avec des thèmes associant plusieurs maisons classées

La formation des propriétaires et copropriétaires, des syndics pour des diagnostiques

La conception de cahiers des charges associant réhabilitation et développement durable

La formation des entreprises à porter des marchés aux échelles d’une rue ou d’un ilot.   

Statut des ateliers

Les ateliers de la Grand’rue sont une marque commerciale qui développe des services pour des projets de réhabilitation d’ensembles historiques et pittoresques sur des modes participatifs. Ces services portent des actions telles que :

- La mise en valeur auprès des habitants eux mêmes du patrimoine global des centres ville anciens pour limiter les effets spéculatifs

- Les formations permettant aux propriétaires de se grouper pour développer une ingénierie globale de la réappropriation du patrimoine en y intégrant les objectifs du grenelle de l’environnement

- Les approches favorisant les transversalités et les collaborations entre entreprises pour traiter des marchés complexes groupés dans des économies de moyens valorisant le savoir faire et sa transmission.

1. -L’accompagnement de groupes dans des projets participatifs.
   

2. -Les ateliers de la Grand’rue ont aussi vocation à associer des artistes résidents par leur pratique, exposition, rencontre, formation dans le but de créer une commande nouvelle articulée sur les transversalités entre arts, architecture et patrimoine. Cette approche favorise le commun sciences de la vie et sciences technique pour une synthèse créatrice d’un patrimoine à la fois partagé et porteur d’identité contemporaine en cohérence avec les histoires d’où chacun vient.
   

- Raison sociale

Ils sont un service de la sas cosmos.2001, mais peuvent être franchisés à partir d’une formation de 10 heures dispensée soit à Morlaix soit sur de nouveaux sites participant aux Ateliers de la Grand’rue.

1. -Objectifs et moyens                                                                                                                                                                  Les ateliers ont comme objectif d’inscrire une éducation populaire dans la découverte du patrimoine de ses processus de production, des matières utilisées des procédés utilisés pour le créer matériellement et immatériellement. Ils ont la nécessité d’associer les disciplines artistiques, scientifiques et littéraires pour un patrimoine partagé et contemporain, et pas seulement pour sa conservation.
   

2. -Les visites ou les conférences restant trop sur la base d’un tourisme consumériste basé sur le pittoresque plus que sur l’échange et la création de liens dans le quotidien le commun devient un objet souvenir au lieu d’être un moteur pour donner des sens et un futur à la relation entre le projet et le patrimoine.
   

3. -L’organisation du travail en groupe permet en effet de croiser d’une part des histoires et des expériences dans leurs diversités, et d’autre part de localiser des contextes nouveaux dans une géographie plus interactive et collaborative.  Il est important que le patrimoine participe en termes de culture à une prise de conscience politique qu’il est un moteur du développement local et du développement partagé. Individuellement.
   

4. - Chacun doit devenir conscient et acteur du développement chez lui à partir du patrimoine qu’il se constitue ou auquel il participe. Chacun doit formuler la commande culturelle du patrimoine art et architecture.                               
   

5. -Nos ateliers sont structurés autour de la perception renseignée de ce qui est vu et pas compris automatiquement.       Il s’agit de petits exercices collectifs sur la mémoire visuelle immédiate et l’imaginaire pour hiérarchiser des informations utiles à la constitution et à la gestion d’un patrimoine collectif bâti sur l’investissement individuel  et quotidien. Le premier effet est :
   

«Mon environnement culturel, urbain, architectural et paysager a t il du sens pour moi?

Si oui comment y participer, sinon comment y contribuer pour qu’il en ait?

Pourquoi ne serai je pas celui qui commande du patrimoine?»